La cité a un air de prison, de cage…
Les grillages nous ont terni l’horizon, c’est dommage !
Qu’on ne s’étonne pas si le béton nous rend sauvages
Et si les nuages nous annoncent un orage…
On s’en rend compte quand on part en voyage,
Comme libéré d’une prise d’otage.
Retour au bercail et on change de visage,
A cause du teint sombre et du nombre de grillages.
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